9 ou 10 choses que j’ai aimées en Corée – Expats en Corée depuis 581 jours
9 ou 10 choses que j’ai aimées en Corée
Stephanie, une connaissance bostonienne de Flickr à Séoul m’a redonné le goût des listes. Son site est dédié aux listes de 10 choses / 10 things : http://10things.wordpress.com/. Thank you, Stephanie ! Accessoirement, elle tient un blog photographique sous Flickr sous le pseudo rigolo d’Elizabeth Taylor (tiré du nom d’un chien dans une série américaine, m’a-t-elle expliqué ; je croyais naïvement que c’était une actrice !) : http://www.flickr.com/photos/elizabethtaylor/.
Stephanie, une connaissance bostonienne de Flickr à Séoul m’a redonné le goût des listes. Son site est dédié aux listes de 10 choses / 10 things : http://10things.wordpress.com/. Thank you, Stephanie ! Accessoirement, elle tient un blog photographique sous Flickr sous le pseudo rigolo d’Elizabeth Taylor (tiré du nom d’un chien dans une série américaine, m’a-t-elle expliqué ; je croyais naïvement que c’était une actrice !) : http://www.flickr.com/photos/elizabethtaylor/.
Un an après mon abécédaire coréen, et à la veille de découvrir de nouveaux horizons (vol Séoul-Tokyo demain matin), voici donc ma liste de neuf ou dix choses que j’ai aimées durant mon séjour de deux ans en Corée. Ce ne seront pas uniquement des choses sur la Corée elle-même : quand on est expat, on continue à découvrir, à vivre, à apprécier d’autres choses que le pays d’accueil.
1 – Le Hangeul et l’écriture coréenne. Les petites syllabes bien rangées dans leurs petits carrés imaginaires. La logique parfaite de leur invention par le roi Sejong le Grand et son aréopage de savants il y a plus de cinq cents ans. Et nos efforts quasi-hebdomadaires pour associer à ses jolis petits dessins des mots et des phrases. Au bout de deux ans, entrecoupés de business trips, de vacances et de changement de professeur, nos cours de coréen ne nous ont pas permis de nous exprimer proprement, ni de comprendre mes collègues en réunion. Mais nos devoirs du dimanche après-midi, et notre gentille prof Eun-sun resteront en mémoire… sans doute plus longtemps que les quelques phrases que nous pouvons bâtir aujourd’hui dans la langue du roi Sejong. Voir la série de photos à ce sujet sur mon compte Flickr.
2 – Les temples bouddhistes. Logés en haut de raidillons qui étirent les mollets. Lovés dans la verdure d’une colline, d’une montagne, d’un site naturel souvent exceptionnel. Mon premier souvenir, depuis l’hôtel du CoEx : Bongeun-sa, situé juste à côté d’un centre commercial trépidant, mais niché dans un écrin de nature reposant. Nos premières lanternes sur l’île de GangHwa-do nous apprennent que l’anniversaire de Bouddha sera célébré dans moins d’un mois. Nos randonnées dans les montagnes de Bukhansan ou de Gwanaksan, de Seoraksan ou d’Odaesan, ont toujours pour objectif escarpé un de ces temples (celui de la photo est Seungga-sa dans le Bukhansan).
3 – Bon, la cantine du bureau n’était pas hautement gastronomique. Bon, les expats se dirigeaient un peu trop souvent vers le MacDo ou le KFC. Mais voilà qu’on découvre peu à peu quelques petits restos coréens juste à côté du bureau qui nous permettent de bien manger. Et rapidement avec ça. A la coréenne. A midi pile, c’est le rush ; à treize heures, on fait la vaisselle et on range. Parfois un samkyetang (soupe au poulet fourré au riz), ou simplement un dolsot bibimpap, un bon riz mélangé à des légumes et un œuf, servi dans un poêlon brûlant qui rend le riz croustillant. Mais dans notre boui-boui favori, mon assiette préférée était le Donggas Set (prononcer Seteu), une grande assiette avec des mandus délicieux, de la viande panée, du kimbap enrobé dans des algues craquantes, et une soupe de nouilles pour faire bon poids. Rassasié.
4 – La pause-café. En général juste après le petit resto du midi, au Coffee Bean du coin de la rue. « ‘Expresso double’ han ge jusseyo. Ne, yogi-o ». Quand je suis seul, un petit crochet par le kiosque à journaux sur la grande avenue pour savourer le Korea Times en même temps que le petit noir. J’ai mis un bout de temps à casser le rythme effréné de la journée de travail coréenne, en adoptant cette petite pause réparatrice avant que mes collègues français arrivent au bureau (décalage horaire oblige, vers seize heures l’été, dix-sept heures l’hiver, heure de Séoul). Ca a super bien marché, depuis que j’ai pris cette habitude.
5 – Ma Corée, en dehors de Séoul. Pour une fois, je la joue perso, car certains de mes bons souvenirs (égrenés le long des articles de ce blog) hors de Séoul se la jouaient entre collègues. On appelle cela pudiquement des « workshops », ateliers de travail en français. Un cocktail savamment dosé d’un zeste de travail dans un grand verre d’alcool, avec deux doigts de karaoké pour faire bonne mesure. Bien mélanger pour que le zeste de travail ne laisse pas un goût amer en bouche. Bains bouillonnants à Ichon, randonnée et sashimi sur le port dans la ville natale du PDG à Samcheonpo, ski à Vivaldi Park avec mon équipe, etc. Que des bons souvenirs ! En famille également, la Corée vaut le coup de se visiter. En voiture de loc ou en bus. Une semaine sur la côte Est, quatre jours sur l’île de Jeju, un week-end à Gangjin pour le festival de la céramique, etc. Que des bons souvenirs là encore !
6 – Les vacances pour découvrir l’Asie. Tant qu’à être à plus de dix mille kilomètres de nos pénates, autant en profiter pour butiner les pays voisins. Sur ce sujet aussi, tout a été dit dans ce blog au fur et à mesure de nos escapades. Mais quand on y repense, quel plaisir de découvrir ensemble le nord du Vietnam, Kyoto et les îles de la Thaïlande ! Quel plaisir d’emmener Delphine et les enfants dans des endroits que j’avais découverts au cours de mes pérégrinations professionnelles ; le chapelet s’égrène comme un rosaire bouddhiste : Hong-Kong, Pékin, Bangkok.
7 – La vie d’expat. Quand on sature un peu sur la Corée et les Coréens, souvent pour des raisons professionnelles, qu’il est bon de profiter un peu des avantages de la vie d’expat à Séoul ! De se reposer l’esprit dans notre jardin des quatre saisons, quand il y fait beau et doux au printemps et à l’automne. De se reposer les papilles dans un resto étranger à Itaewon ou ailleurs. Ah ! la tarte fine aux pommes et au caramel au beurre salé de La Cigale ! Ah ! la tomate-mozza et la pizza géante de Sortino’s ! Ah ! le brunch du dimanche au Grand Hyatt ! De déconnecter les neurones en apprenant la salsa au studio « You can dance » ou en écoutant de bonnes reprises pop-rock au JJ Mahoney’s.
8 – Les films et les meilleures séries du moment sur… l’ordinateur ! Incompatibilité franco-coréenne des standards télé & dévédé oblige, nous nous étions offert un ordi avec écran et son dignes de ce nom. Bien nous en a pris. Nos longues soirées d’hiver ont été bien remplies grâce à lui. Découverte de la cinématographie coréenne (ben oui, aller au ciné sans les sous-titres, c’est moins facile d’apprécier), dont Delphine a fait un palmarès accessible depuis la rubrique ‘cinéma coréen’ dans la marge. Mes préférés : JSA, ‘Old Boy’, ‘Printemps, été, automne, hiver, goligo bom’, et le film d’horreur marrant ‘The Host’ (‘Goemul’ en coréen) qui me revient en tête à chaque fois qu’on va se balader ou faire du vélo le long de la rivière Han. Côté séries américaines, on a attaqué avec ‘24’ et ‘Lost’, puis on s’est plongés avec délices dans 'Desperate Housewives', avant de tomber raides dingues d’ ‘Alias’.
9 – Les joies d’Internet et de Flickr ! Une sorte de maraboud’ficelle qui commence lorsqu’Internet permet magiquement de rester proche de ses proches : Skype nous propose de téléphoner à nos familles restées en France à un prix dérisoire, et on écoute France-Info à toute heure. Puis, l’auto-éducation de Delphine aux arcanes du html nous permet de nous épancher sur ce blog. D’Internet à la musique high-tech, il n’y a qu’un pas que je franchis en achetant un iPod à Hong-Kong, en téléchargeant deux mille morceaux de ma discothèque et en m’abonnant à des Podcasts musicaux (les Inrocks) ou infos (la revue de presse de France Inter). Puis voilà que je tombe accro à Flickr, un fabuleux site d’amateurs de photos. Et des photos, en Corée et en Asie, on en a fait ! Le compteur de mon nouveau Sony indique trois mille photos un an après son achat : de quoi en extraire une centaine pas trop moches à mettre sur Flickr. Le maraboud’ficelle de la high-tech reboucle ici avec la Corée, à travers les sorties photos qu’une communauté de ‘Flickrites’ organise depuis quelques mois dans Séoul. Ce sont tous de super photographes, voir comment accéder à leurs photos sur le site d’Eric/Sudoksa : http://sudoksa.centerblog.net/2688079-Phil-et-Flickr. Merci, Eric!
10 – Mais la liste ne serait pas complète sans les soirées entre collègues ! En moyenne une fois par semaine lorsque je n’étais pas en déplacement à l’étranger, beaucoup plus pour les Coréens bien sûr. On s’habitue à cette atmosphère bon enfant, où l’objectif avoué des Coréens de se saouler le plus rapidement possible (pour faire tomber les faux-semblants et « parler vrai ») est en général atteint avant la fin du repas. Repas qui n’est que la première étape (il-cha) avant la deuxième (i-cha), voire plus si affinités. Les promotions ou les soirées de départ d’un collègue vers une autre société sont prétextes à des libations plus intenses : perruques rigolotes, bomb shots (petits verres de soju qui tombent en cascade dans des verres à bière, le tout à absorber cul sec), et toutes ces gentilles attentions à celui qui est promu ou qui nous quitte ! Voir l’un des ‘posts’ précédents pour lire à quelle sauce j’ai été mangé (bu ?) pour fêter dignement mon départ de Corée.
1 – Le Hangeul et l’écriture coréenne. Les petites syllabes bien rangées dans leurs petits carrés imaginaires. La logique parfaite de leur invention par le roi Sejong le Grand et son aréopage de savants il y a plus de cinq cents ans. Et nos efforts quasi-hebdomadaires pour associer à ses jolis petits dessins des mots et des phrases. Au bout de deux ans, entrecoupés de business trips, de vacances et de changement de professeur, nos cours de coréen ne nous ont pas permis de nous exprimer proprement, ni de comprendre mes collègues en réunion. Mais nos devoirs du dimanche après-midi, et notre gentille prof Eun-sun resteront en mémoire… sans doute plus longtemps que les quelques phrases que nous pouvons bâtir aujourd’hui dans la langue du roi Sejong. Voir la série de photos à ce sujet sur mon compte Flickr.
2 – Les temples bouddhistes. Logés en haut de raidillons qui étirent les mollets. Lovés dans la verdure d’une colline, d’une montagne, d’un site naturel souvent exceptionnel. Mon premier souvenir, depuis l’hôtel du CoEx : Bongeun-sa, situé juste à côté d’un centre commercial trépidant, mais niché dans un écrin de nature reposant. Nos premières lanternes sur l’île de GangHwa-do nous apprennent que l’anniversaire de Bouddha sera célébré dans moins d’un mois. Nos randonnées dans les montagnes de Bukhansan ou de Gwanaksan, de Seoraksan ou d’Odaesan, ont toujours pour objectif escarpé un de ces temples (celui de la photo est Seungga-sa dans le Bukhansan).
3 – Bon, la cantine du bureau n’était pas hautement gastronomique. Bon, les expats se dirigeaient un peu trop souvent vers le MacDo ou le KFC. Mais voilà qu’on découvre peu à peu quelques petits restos coréens juste à côté du bureau qui nous permettent de bien manger. Et rapidement avec ça. A la coréenne. A midi pile, c’est le rush ; à treize heures, on fait la vaisselle et on range. Parfois un samkyetang (soupe au poulet fourré au riz), ou simplement un dolsot bibimpap, un bon riz mélangé à des légumes et un œuf, servi dans un poêlon brûlant qui rend le riz croustillant. Mais dans notre boui-boui favori, mon assiette préférée était le Donggas Set (prononcer Seteu), une grande assiette avec des mandus délicieux, de la viande panée, du kimbap enrobé dans des algues craquantes, et une soupe de nouilles pour faire bon poids. Rassasié.
4 – La pause-café. En général juste après le petit resto du midi, au Coffee Bean du coin de la rue. « ‘Expresso double’ han ge jusseyo. Ne, yogi-o ». Quand je suis seul, un petit crochet par le kiosque à journaux sur la grande avenue pour savourer le Korea Times en même temps que le petit noir. J’ai mis un bout de temps à casser le rythme effréné de la journée de travail coréenne, en adoptant cette petite pause réparatrice avant que mes collègues français arrivent au bureau (décalage horaire oblige, vers seize heures l’été, dix-sept heures l’hiver, heure de Séoul). Ca a super bien marché, depuis que j’ai pris cette habitude.
5 – Ma Corée, en dehors de Séoul. Pour une fois, je la joue perso, car certains de mes bons souvenirs (égrenés le long des articles de ce blog) hors de Séoul se la jouaient entre collègues. On appelle cela pudiquement des « workshops », ateliers de travail en français. Un cocktail savamment dosé d’un zeste de travail dans un grand verre d’alcool, avec deux doigts de karaoké pour faire bonne mesure. Bien mélanger pour que le zeste de travail ne laisse pas un goût amer en bouche. Bains bouillonnants à Ichon, randonnée et sashimi sur le port dans la ville natale du PDG à Samcheonpo, ski à Vivaldi Park avec mon équipe, etc. Que des bons souvenirs ! En famille également, la Corée vaut le coup de se visiter. En voiture de loc ou en bus. Une semaine sur la côte Est, quatre jours sur l’île de Jeju, un week-end à Gangjin pour le festival de la céramique, etc. Que des bons souvenirs là encore !
6 – Les vacances pour découvrir l’Asie. Tant qu’à être à plus de dix mille kilomètres de nos pénates, autant en profiter pour butiner les pays voisins. Sur ce sujet aussi, tout a été dit dans ce blog au fur et à mesure de nos escapades. Mais quand on y repense, quel plaisir de découvrir ensemble le nord du Vietnam, Kyoto et les îles de la Thaïlande ! Quel plaisir d’emmener Delphine et les enfants dans des endroits que j’avais découverts au cours de mes pérégrinations professionnelles ; le chapelet s’égrène comme un rosaire bouddhiste : Hong-Kong, Pékin, Bangkok.
7 – La vie d’expat. Quand on sature un peu sur la Corée et les Coréens, souvent pour des raisons professionnelles, qu’il est bon de profiter un peu des avantages de la vie d’expat à Séoul ! De se reposer l’esprit dans notre jardin des quatre saisons, quand il y fait beau et doux au printemps et à l’automne. De se reposer les papilles dans un resto étranger à Itaewon ou ailleurs. Ah ! la tarte fine aux pommes et au caramel au beurre salé de La Cigale ! Ah ! la tomate-mozza et la pizza géante de Sortino’s ! Ah ! le brunch du dimanche au Grand Hyatt ! De déconnecter les neurones en apprenant la salsa au studio « You can dance » ou en écoutant de bonnes reprises pop-rock au JJ Mahoney’s.
8 – Les films et les meilleures séries du moment sur… l’ordinateur ! Incompatibilité franco-coréenne des standards télé & dévédé oblige, nous nous étions offert un ordi avec écran et son dignes de ce nom. Bien nous en a pris. Nos longues soirées d’hiver ont été bien remplies grâce à lui. Découverte de la cinématographie coréenne (ben oui, aller au ciné sans les sous-titres, c’est moins facile d’apprécier), dont Delphine a fait un palmarès accessible depuis la rubrique ‘cinéma coréen’ dans la marge. Mes préférés : JSA, ‘Old Boy’, ‘Printemps, été, automne, hiver, goligo bom’, et le film d’horreur marrant ‘The Host’ (‘Goemul’ en coréen) qui me revient en tête à chaque fois qu’on va se balader ou faire du vélo le long de la rivière Han. Côté séries américaines, on a attaqué avec ‘24’ et ‘Lost’, puis on s’est plongés avec délices dans 'Desperate Housewives', avant de tomber raides dingues d’ ‘Alias’.
9 – Les joies d’Internet et de Flickr ! Une sorte de maraboud’ficelle qui commence lorsqu’Internet permet magiquement de rester proche de ses proches : Skype nous propose de téléphoner à nos familles restées en France à un prix dérisoire, et on écoute France-Info à toute heure. Puis, l’auto-éducation de Delphine aux arcanes du html nous permet de nous épancher sur ce blog. D’Internet à la musique high-tech, il n’y a qu’un pas que je franchis en achetant un iPod à Hong-Kong, en téléchargeant deux mille morceaux de ma discothèque et en m’abonnant à des Podcasts musicaux (les Inrocks) ou infos (la revue de presse de France Inter). Puis voilà que je tombe accro à Flickr, un fabuleux site d’amateurs de photos. Et des photos, en Corée et en Asie, on en a fait ! Le compteur de mon nouveau Sony indique trois mille photos un an après son achat : de quoi en extraire une centaine pas trop moches à mettre sur Flickr. Le maraboud’ficelle de la high-tech reboucle ici avec la Corée, à travers les sorties photos qu’une communauté de ‘Flickrites’ organise depuis quelques mois dans Séoul. Ce sont tous de super photographes, voir comment accéder à leurs photos sur le site d’Eric/Sudoksa : http://sudoksa.centerblog.net/2688079-Phil-et-Flickr. Merci, Eric!
10 – Mais la liste ne serait pas complète sans les soirées entre collègues ! En moyenne une fois par semaine lorsque je n’étais pas en déplacement à l’étranger, beaucoup plus pour les Coréens bien sûr. On s’habitue à cette atmosphère bon enfant, où l’objectif avoué des Coréens de se saouler le plus rapidement possible (pour faire tomber les faux-semblants et « parler vrai ») est en général atteint avant la fin du repas. Repas qui n’est que la première étape (il-cha) avant la deuxième (i-cha), voire plus si affinités. Les promotions ou les soirées de départ d’un collègue vers une autre société sont prétextes à des libations plus intenses : perruques rigolotes, bomb shots (petits verres de soju qui tombent en cascade dans des verres à bière, le tout à absorber cul sec), et toutes ces gentilles attentions à celui qui est promu ou qui nous quitte ! Voir l’un des ‘posts’ précédents pour lire à quelle sauce j’ai été mangé (bu ?) pour fêter dignement mon départ de Corée.
Libellés : Abécédaire, Culture et société, Séoul, Voyages
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